Notre empreinte carbone
La méthodologie :
Nous nous appuyons sur des méthodologies rigoureuses et vérifiées pour calculer notre empreinte carbone. Nous utilisons notamment les outils mis à disposition par l’ADEME pour évaluer et calculer chacun des postes d’émission de gaz à effet de serre. Ces postes d’émission de gaz à effet de serre sont décomposés en 3 chapitres distincts appelés scopes 1, 2 & 3.
- Le Scope 1 recouvre les émissions issues de la consommation directe des énergies fossiles. Il s’agit du gaz de chauffage, du carburant des véhicules et des engins de chantier, principalement.
- Le Scope 2 mesure les émissions indirectes liées à la consommation d’électricité, de froid, de chaud et de vapeur.
- Le Scope 3 recouvre tout le reste : les émissions liées aux achats de produits, de services, aux immobilisations, aux déchets aux frais de déplacements professionnels tels que les hôtels ou les restaurants, aux transports sur achats et transports sur vente. Mais ce sont aussi les déplacements domicile travail des salariés, et ceux des visiteurs ou des clients. Et ce sont enfin les émissions à l’utilisation des produits et à leur fin de vie.
L’ADEME administre une base de données appelée base carbone. C’est aujourd’hui une vraie référence sur laquelle nous nous appuyons.
Les résultats :
La moyenne par citoyen est équivalente à environ 10 tonnes équivalent CO2/an (10 tCO2eq). L’objectif fixé dans les accords de Paris à l’issue de la COP 21 est de 2 TCO2eq en 2050 (soit une réduction d’environ 5% par an chaque année). A plus court terme, cela correspond à diviser quasiment par 2 l’empreinte carbone de chacun d’ici 2030.
Le secteur d’activité de la construction (code NAF 41/42/43) représente environ 8,2 M TCO2eq. Cela fait environ 27 TCO2eq / M€ de chiffre d’affaires, 81 TCO2eq / M€ de valeur ajoutée ou encore 4,9 TCO2eq / salarié (ETP, y compris intérimaires). SML est donc globalement dans la moyenne du secteur. De très loin, notre impact principal est lié aux kilomètres réalisés avec nos véhicules.
Notre démarche d’amélioration initiée fin 2020, dont l’objectif est calqué sur les accords de Paris doit nous permettre de faire très significativement mieux dans les années à venir. Nous y travaillons avec passion. A l’heure actuelle, nous calculons notre empreinte globale en incluant un maximum d’éléments du scope 3.
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